Votre livre est un vrai bijou de mémoire collective, touchant et sincère. Née en France en 1966 et passant depuis l'âge de 9 mois tous mes étés à Novi, j'ai retrouvé avec énormément d'émotions au travers de votre écriture beaucoup d'histoires et d'infos de notre « patrimoine » novicien et cherchellois.
Yazida S.
Je viens de terminer ton ouvrage et d'en parler à une amie car si apprécié à leur juste valeur les deux premières parties tout empreintes de sensibilité et truffées de rafraîchissantes anecdotes pleine d'humour, j'ai trouvé la dernière très enrichissante et particulièrement émouvante. (J'avais les larmes aux yeux à plusieurs reprises).
Viviane O.
J'ai connu votre livre à Novi, par vos amis Algériens, très fiers de montrer vos dédicaces, et depuis mon retour en France c'est mon livre de chevet.
Un monsieur que nous avons rencontré là-bas nous a dit:" Maisqu'est ce qui nous est arrivé nous étions bien ensemble… ". Cela me rappelle : "…des petites histoires quotidiennes, qui nous unissent et créent des relations intimes, fortes, culturelles, affectueuses."
Renée V.
Merci d'avoir écrit sur notre village, je suis une Novicienne mais aussi une fille de Sidi Ghiles.
Vous m'avez fait revivre mon enfance, Novi, les rues, les coins, les personnes, les connaissant toutes : ce sont mes voisins, cousins ou amis : Mayer / Tintin / Mohammed. C'est merveilleux et pourtant ça ne fait que 15 ans que je suis en France mais je partage les même les souvenirs que vous. J'ai fait un long voyage à travers votre lire.
Amine B
Votre connaissance des oueds est bien plus grande que le mienne, qui se circonscrit à l'oued Cheliff. J'ai fait le lycée d'Orléansville juste après votre départ. J'en garde des souvenirs impérissables. Je serais ravi de mettre la main sur votre livre et de lire que ce sont les oueds qui font la mer.
Mohamed M.
Maguite m'a transmis l'adresse où je pouvais te joindre afin de te dire à quel point ton livre m'a bouleversée. Je l'ai lu d'une seule traite, avec énormément d'émotion, sans pouvoir m'en détacher et je pouvais, à l'évocation que tu faisais de lieux ou de personnes, entendre les bruits, les voix, voire les gens. Je crois avoir passé à Novi les plus belles années de ma vie et je n'ai oublié ni les gens ni les lieux. Novi est restée si chère à mon cœur, malgré l'absence et l'éloignement, que mes souvenirs sont intacts et que je peux sentir encore, entre autres, l'odeur des petites oranges vertes qui nous servaient de projectiles dans le jardin abandonné.
Marie Noëlle S.
Je viens de terminer ton bouquin et j'ai encore une boule dans la gorge et quelques gouttes qui sèchent au coin de l'oeil. Ton enfance de Novicien évoquée au début avec beaucoup de sensibilité de poésie, et de précision dans les souvenirs m'a ramené à l'année scolaire 51-52, l'année du CM2 chez mon oncle, et toutes les vacances que j'ai pu passé à Fontaine par la suite.
Yvon F.
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J'ai lu ton livre, super!!!! Félicitations.
J'y ai retrouvé avec émotion tout ce que ce pays nous a offert pendant notre adolescence.
Tu as tout décrit et conté avec une authenticité, une précision et des détails surprenants. Bravo!!
J'ai les mêmes souvenirs que toi avec autant de netteté; ces souvenirs que j'aimais partager et me remémorer avec mon père.
En lisant ton explication sur la mise en forme à chaud du manche de tawel, je me suis revu au pied de la gazinière chez ma grand-mère. Il manquait l'odeur de l'écorce d'olivier brûlée.
Jean-Paul S.
J'ai un peu manqué de temps, ces dernières semaines, pour vous dire le plaisir que j'ai eu à lire votre livre…. Vous en parlez avec beaucoup d'émotion, de sensibilité, pour tout dire, d'amour, car c'est bien d'amour qu'il s'est agi, entre notre terre natale et nous
Heureusement, des liens demeurent avec les habitants de ce pays, qui montrent que nous n'avons pas rêvé. Et c'est peut-être la partie la plus belle de votre livre, celle qui parle de votre retour à vos racines, et de la relation qui se renoue naturellement avec vos camarades d'enfance.
Jean B.