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L'Oued de ma mémoire

Idir - A vava inouva

Une enfance sur le littoral cherchellois

Petite chanson de piété filiale chère à Pagnol

 

L’OUVRAGE
Ce livre est un parcours de mémoire sur les traces d’une enfance en Algérie.
Descendant des pionniers ayant fui le chômage et la crise économique de 1848 en France, l’auteur évoque sa famille : des petits viticulteurs installés à Novi (aujourd'hui Sidi-Ghiles), notamment son grand-père qui va lui faire découvrir cette terre et les petits bonheurs qui jalonnent la vie quotidienne.
Au delà des différences, l’auteur évoque aussi l’amitié enfantine et la singularité des liens culturels et affectifs qui unissent les communautés arabe et pied-noir.
A Novi, on ne croit pas à la guerre. Elle arrive pourtant brusquement en 1956, fauchant l’adolescence et ses rêves de liberté, d’évasion et d’aventures.
Le virage politique et les accords d’Evian vont précipiter la fin de Novi qui est évacué collectivement sous la protection de l’Ecole Militaire de Cherchell.
L’auteur termine ce témoignage par un retour, dix-huit ans après, à Novi devenu Sidi Ghiles, à la recherche de ses racines. Il découvre avec émotion que l’amitié construite pendant l’enfance est toujours vivante.

Première édition: Siloë (plus disponible)

Couverture

Deuxième édition: Lacour

Réédition

18 € + 5 € de port

Pour acheter le livre (avec une dédicace), me contacter:

par mail (marctestud@sfr.fr)

par téléphone (06 65 05 35 23)

par voie postale (26 allée Clément Marot, 33470 Gujan Mestras)

 

LA VIE DU LIVRE

Janine de la Hogue

Mémoire plurielle

Les cahiers d’Afrique du Nord

 

  C’est un livre fort émouvant. Dans un style à la fois dépouillé et souvent poétique, Marc Testud réussit à faire entrer le lecteur dans la vérité de sa vie.

  Novi, ce village que nul ne connaît ou n’a connu en dehors de ses habitants, vit là, dans ce livre, avec une intensité incroyable. On pense souvent à Pagnol en lisant les descriptions des paysages. C’est la même manière à la fois sobre et prenante de nous faire partager la vie quotidienne, cette vie qui va basculer d’un seul coup vers le cauchemar. Pas de vaine sensibilité, pas de misérabilisme dans les sentiments exprimés. Seulement de l’ « anxiétude », selon le mot d’un professeur qui résume bien l’inquiétude que l’on ne peut exprimer. « Depuis plus d’une génération, nous étions en quelque sorte au balcon de l’histoire. Nous considérions tous ces drames lointains et ces tumultes sanglants comme s’ils se déroulaient sur une autre planète : les insurgés de l’Aurès ? Des bandits extraterrestres ! Mon village était un périmètre à part où le soleil brille éternellement. C’est du moins ce que ses habitants voulaient croire avec ferveur et naïveté ».

  La fin de cette « naïveté » est racontée avec pudeur et sensibilité. Le dernier grand chapitre s’intitule « Longtemps après » et c’est le récit d’un voyage pèlerinage à Novi-Sidi Ghiles, à la fois mélancolique et heureux. Heureux d’une sympathie retrouvée, triste d’un passé à jamais fermé. « Chanson d’exil » où l’imagination tourne en rond, «  obstinément, comme autrefois tournaient inlassablement les mulets attachés à leur guide ».

  Je suppose qu’après ces quelques lignes, on aura compris que j’ai bien aimé ce livre. J’espère que d’autres y verront aussi cet amour du pays natal, débarrassé de toutes les scories que d’autres veulent y ajouter.

                                                   

Interview à Arcachon

Prix algerianiste

Un article de la Dépêche du Bassin

La Dépêche du Bassin

Sainte Foy la Grande le 13 octobre 2006

Sainte Foy la Grande

13e Maghreb des livres, Mairie du 13e arrondissement, Paris, 10 et 11 février 2007

Maghreb des livres 3

avec Fatima Besnaci de l'association Harkis et droits de l'homme

Maghreb des livres
Affiche harkis

Evènement au Sénat à Paris organisé par l'association "Harkis et droits de l'homme"

8 10 18 95220

IMPRESSIONS DE LECTEURS

Aissa B
Annick M
Cercle algerianiste
Jasmine R
Jean Yves C
Monique L
Monique R
Pierre c copie

Votre livre est un vrai bijou de mémoire collective, touchant et  sincère. Née en France en 1966 et passant depuis l'âge de 9 mois tous mes étés à Novi, j'ai retrouvé avec énormément  d'émotions au travers de votre écriture beaucoup d'histoires et d'infos de notre « patrimoine » novicien  et cherchellois.                 

Yazida S.                 

 

Je viens de terminer ton ouvrage et d'en parler à une amie car si apprécié à leur juste valeur les deux premières parties tout empreintes de sensibilité et truffées de rafraîchissantes anecdotes pleine d'humour, j'ai trouvé la dernière très enrichissante et particulièrement émouvante. (J'avais les larmes aux yeux à plusieurs reprises).

Viviane O.                 

 

J'ai connu votre livre à Novi, par vos amis Algériens, très fiers de montrer vos dédicaces, et depuis mon retour en France c'est mon livre de chevet.

Un monsieur que nous avons rencontré là-bas nous a dit:" Maisqu'est ce qui nous est arrivé nous étions  bien  ensemble… ". Cela me rappelle : "…des petites histoires quotidiennes, qui nous unissent et créent des relations intimes, fortes, culturelles, affectueuses."

Renée V.                 

 

Merci d'avoir écrit sur notre village, je suis une Novicienne mais aussi une fille de Sidi Ghiles.
Vous m'avez fait revivre mon enfance, Novi, les rues, les coins, les personnes, les connaissant toutes : ce sont mes voisins, cousins ou amis : Mayer / Tintin / Mohammed. C'est merveilleux et pourtant ça ne fait que 15 ans que je suis en France mais je partage les même les souvenirs que vous. J'ai fait un long voyage à travers votre lire.

Amine B                 

 

Votre connaissance des oueds est bien plus grande que le mienne, qui se circonscrit à l'oued Cheliff. J'ai fait le lycée d'Orléansville juste après votre départ. J'en garde des souvenirs impérissables. Je serais ravi de mettre la main sur votre livre et de lire que ce sont les oueds qui font la mer.

Mohamed M.                 

 

Maguite m'a transmis l'adresse où je pouvais te joindre afin de te dire à quel point ton livre m'a bouleversée. Je l'ai lu d'une seule traite, avec énormément d'émotion, sans pouvoir m'en détacher et je pouvais, à l'évocation que tu faisais de lieux ou de personnes, entendre les bruits, les voix, voire les gens. Je crois avoir passé à Novi les plus belles années de ma vie et je n'ai oublié ni les gens ni les lieux. Novi est restée si chère à mon cœur, malgré l'absence et l'éloignement, que mes souvenirs sont intacts et que je peux sentir encore, entre autres, l'odeur des petites oranges vertes qui nous servaient de projectiles dans le jardin abandonné.

Marie Noëlle S.                 

 

Je viens de terminer ton bouquin et j'ai encore une boule dans la gorge et quelques gouttes qui sèchent au coin de l'oeil. Ton enfance de Novicien évoquée au début avec beaucoup de sensibilité de poésie, et de précision dans les souvenirs m'a ramené à l'année scolaire 51-52, l'année du CM2 chez mon oncle, et toutes les vacances que j'ai pu passé à Fontaine par la suite. 

Yvon F.                 

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J'ai lu ton livre,  super!!!! Félicitations.

J'y ai retrouvé avec émotion tout ce que ce pays nous a offert pendant notre adolescence.

Tu as tout décrit et conté avec une authenticité, une précision et des détails surprenants. Bravo!!

J'ai les mêmes souvenirs que toi avec autant de netteté; ces souvenirs que j'aimais partager et me remémorer avec mon père.

En lisant ton explication sur la mise en forme à chaud du manche de tawel, je me suis revu au pied de la gazinière chez  ma grand-mère. Il manquait l'odeur de l'écorce d'olivier brûlée.

 Jean-Paul S.                 

 

J'ai un peu manqué de temps, ces dernières semaines, pour vous dire le plaisir que j'ai eu à lire votre livre…. Vous en parlez avec beaucoup d'émotion, de sensibilité, pour tout dire, d'amour, car c'est bien d'amour qu'il s'est agi, entre notre terre natale et nous

Heureusement, des liens demeurent avec les habitants de ce pays, qui montrent que nous n'avons pas rêvé. Et c'est peut-être la partie la plus belle de votre livre, celle qui parle de votre retour à vos racines, et de la relation qui se renoue naturellement avec vos camarades d'enfance.

 Jean B.                 

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